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                                                        jf Monnet peinture à l'huile sur toile


    L’entrée du Christ à Jérusalem, porté par le petit d’une ânesse.

    Le Christ et l'ânon sont représentés allégoriquement dans un espèce d’apesanteur, sur le Livre grand ouvert. L’âne participe à sa gloire, alors qu’autour de lui sont agités les branchages.
    Devant lui, la Jérusalem Céleste gardée par le Serpent, issu du jardin de l’Eden ; et la palme du martyre, qui s'unit aux branches du pommier du jardin d'Eden, renvoie à "cette coupe" dont parlent les textes de la Passion et que le Messie voudrait voir éloignée de lui. (Coupe qui l’on peut imaginer, comme je l'ai fait dans une autre version de la même oeuvre, esquissée entre les oreilles de l’ânon, animal de la sagesse biblique, sagesse s’entendant ici par obéissance).

                                           JF Monnet 28/03/2010

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  • Un peu plus de sept mois que ce blog a été créé ; 1050 visiteurs et bientôt 4200 pages vues - Merci à tous ceux qui sont passés en visite, sensibles à l'esprit du Kairos !
    J.M. le 25-03-2010

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  • Une forme de magnificence de l'acte de peindre qui nous place aux antipodes des mythologies de la joliesse.

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     Les ânes au pré ont-ils plus de sagesse que les images (d'Einstein et Marylin réunies) ?  

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    Le Chêne de Flagey - par Gustave Courbet 


    Il y a quelques temps, un ami m'a envoyé des photos qu'il avait prises lors d'une promenade bucolique. Il joignit à son envoi une autre image amusante sur laquelle, selon la distance à laquelle on la voyait, le visage d'Einstein se transformait en cet opposé qu'est celui de Marylin Monroe.
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    Pour remerciements et réponse je lui adressai ce poème (ci-dessous).
    Ce sera ma façon de fêter, par des consonances automnales et en faisant allusion  à l'emblème allégorique de la Franche-Comté que représente le Chêne de Flagey, le Printemps des Poètes !

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    Faut-il derrière la frondaison
    du puissant chêne de Flagey
    inventer d'intelligence ou d'imagination
    le pur soleil qui fait détaler
    le lièvre blanc, le renard bleu ?

    Il est des ânes
    brodant le barbelé
    des pâtures

    Une herbe primitive pousse
    sous leurs sabots
    échappés à la steppe
    et n'ayant pour mémoire
    que la dureté du désert

    Mais ces brins drus
    se mettent à rire lorsque
    leur dent les fait crisser
    et leur métamorphose
    nourrit le songe de leur crin

    Nulle chambre noire
    pour contenir
    la longue fraternité
    des animaux ...

    Et les hommes, fussent-ils pourvus
    des mèches blondes du génie
    ou du rire pourpre
    et jumeau de l'amante

    Ne sauraient réduire à sa substance,
    comme pour l'emprisonner,
    la vapeur, le frémissement

    De naseau d'une seule bête
    du troupeau, dans la fraîcheur
    matinale de l'automne...
     

     


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    J. MONNET 10/03/2010 

    Et un grand merci à Christian pour ses portraits d'ânes, portraits en pied ou en sabot !... 


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  • D'abord l'adresse d'un site : "NARTHEX"

    http://www.eglise.catholique.fr/actualites-et-evenements/actualites/narthex-un-bi-media-original-destine-a-faire-connaitre-et-comprendre-lart-sacre.html


    Puis les références d'une revue d'art, la toute nouvelle revue "ARTS SACRES" :

    www.arts-sacres.fr

    ... Et ce qu'en dit Michel Durand sur son Blog :
    www.enmanquedeglise.com/article-une-nouvelle-revue-d-art-sacre-38167997.html




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